Réussir son séjour linguistique : comment bien gérer son budget à l’étranger ?

Voici nos conseils pour aborder cette étape avec sérénité, en évitant les imprévus.

Préparer son budget avant le départ

Tout commence bien avant le décollage. Dès l’inscription, Nacel fournit aux familles des repères sur le coût de la vie selon la destination choisie. Ce n’est pas la même chose de vivre trois semaines à Londres que de séjourner à Séville. En fonction du pays, de la formule (famille d’accueil, campus, résidence) et des prestations incluses, les besoins ne seront pas les mêmes.

Une fois que les frais de séjour sont réglés (cours, hébergement, repas, activités ), il reste à estimer les dépenses personnelles : les petits achats, les transports en dehors des temps encadrés, les sorties avec d’autres participants, les souvenirs, les goûters, les extras. Pour ne pas partir à l’aveugle, Nacel conseille de fixer une enveloppe hebdomadaire, raisonnable, mais suffisante pour ne pas avoir à compter chaque centime.

Manger local, c’est économique

L’alimentation est un poste important, mais elle peut aussi devenir une belle découverte. Manger local, c’est non seulement goûter aux saveurs du pays, mais c’est aussi souvent plus économique que de fréquenter les restaurants touristiques. Les familles d’accueil Nacel offrent aux jeunes la possibilité de partager des repas traditionnels simples et conviviaux. Pour ceux en résidence ou campus, faire ses courses au marché ou dans les supermarchés locaux permet de limiter les dépenses tout en découvrant les produits du pays.

Les bons plans étudiants

Des tarifs réduits pour les musées, des abonnements à prix réduit dans les transports, des activités gratuites ou à moindre coût sont souvent proposés aux étudiants et mineurs. Une bonne manière de vivre des expériences authentiques tout en maîtrisant ses finances.

Se faire plaisir, mais avec des priorités

Savoir gérer son budget, ce n’est pas se priver. C’est apprendre à faire des choix. À décider que ce week-end, on garde de quoi visiter un musée ou participer à une activité collective, plutôt que de tout dépenser dans une boutique de souvenirs. C’est comprendre que les moments partagés, les rires autour d’un repas ou les découvertes faites avec d’autres jeunes venus du monde entier ont souvent plus de valeur que ce qu’on pourrait acheter.
Le rôle de Nacel, c’est justement d’encadrer tout cela sans brider. L’autonomie se construit dans un cadre sécurisé. On apprend à gérer son argent comme on apprend à prendre le bus, à s’exprimer dans une autre langue ou à comprendre une culture différente. C’est un apprentissage qui donne confiance.

S’équiper des bons outils : cartes sans frais et applis utiles

Pour suivre ses dépenses, certaines applications sont devenues incontournables. Tricount permet par exemple de noter tout ce qu’on dépense au jour le jour. D’autres, comme Bankin ou Linxo, donnent une vision plus large de l’état du compte. Mais le vrai changement, ces dernières années, c’est l’apparition des cartes bancaires sans frais à l’étranger. Des solutions comme Revolut, Boursomarama, Kard ou Pixpay sont particulièrement adaptées aux jeunes. Elles permettent de payer en devises sans commission, de fixer des plafonds, de bloquer la carte en un clic en cas de perte, et d’être notifié à chaque paiement.

Un budget bien géré, c’est un séjour réussi. Chez Nacel, on aide les jeunes à se poser les bonnes questions, à partir préparés et à vivre une expérience. Avec les bons outils et les bons réflexes, tout devient plus simple.